« Cachez cette spiritualité que je ne saurai voir. »

Nous avons vu, dans les deux premières parties, que la géobiologie est une manière de favoriser le bien être et de soutenir le capital santé de l’homme au travers de la prise en compte des perturbations existantes tant au niveau tellurique (de la terre) qu’au niveau artificiel (exposition aux ondes électromagnétique).

Nous avons expliqué dans la partie Une que la Géobiologie est plus proche de la pratique d’un art (du fait de notre connexion sensible à ce qui nous entoure) et dans la partie deux qu’il s’agit de l’ évaluation de notre exposition aux champs électromagnétiques.


A présent que nous avons effleuré l’intérêt d’un tel domaine pour l’homme et la société, il est tant d’aller plus loin, d’approfondir la partie sensible exposée dans la partie une.

Et si l’on souhaite s’aventurer davantage dans cet aspect plus profond, plus spirituel de la géobiologie il est nécessaire de laisser la pensée analytique de coté, de laisser la place à la partie la plus sensible de notre être. Au ressenti du corps, et de l’esprit.

En somme, à ce que l’on nous a peu enseigné !

Il ne s’agit pas de nier la pensée analytique, elle est indispensable, indissociable de l’homme et de son évolution, mais délaisser, abandonner la perception sensible à son seul profit c’est comme rayer d’un trait de plume tout ce qui ne peut rentrer dans son domaine de compréhension.


La pensée analytique encadre, définit et structure, (elle est indissociable de l’homme) mais à elle est incapable de se saisir de ce qui touche au registre de la perception sensible.

C’est cette partie là que nous allons explorer.

Prenons l’exemple d’un danseur, il a besoin de sa tête et de son mental pour chorégraphier sa danse et en apprendre les pas.

Mais lorsqu’il va déployer son art, le faire rayonner il le fera sans s’embarrasser de son mental, c’est ce qu’il l’anime qui va donner vie et sens aux pas de sa danse, il en résultera un tableau magnifique dont l’émotion sera perçu par le spectateur.

Du moment où le danseur bouge avec sa tête, la magie est alors rompue.

Prenons un autre exemple, un œnologue : il se sert d’un odorat très développé et d’un fin palais pour décrire les nuances d’un vin.

Le géobiologue va un peu à la manière de l’œnologue se servir de la sensibilité de son corps (et pour ma part de ma sensibilité tout court) pour découvrir ce qu’un lieu recèle.

Il perçoit les nuances vibratoires, de la plus pesante à la plus légère.


Dire à un œnologue que la variété aromatique d’un vin n’existe pas (parce que notre palais ne peut entrevoir la richesse aromatique de celui ci) c’est comme dire à un géobiologue alors que sa sensibilité n’est pas encore assez développée que les subtilités présentes dans l’environnement n’existent pas.


Ce n’est pas parce que l’on ne sent pas toute la palette aromatique d’un vin que c’est une vue de l’esprit ! Il en va de même avec les perceptions sensibles en géobiologie, les subtilités sont là, même si on ne les sent pas !

Un exemple, vous avez certainement fait un jour l’expérience de rentrer quelque part et de vous y sentir très mal à l’aise sans pour autant savoir ce qui vous gênait ? Il y a de grandes chances pour que l’étude géobiologique révèle des phénomènes subtils concourant à ce ressenti ainsi qu’un taux vibratoire assez bas.

Mais on ne peut accéder aux faveurs de la nuance qu’en ouvrant son cœur et sa sensibilité.

Si cette compréhension vous échappe, (ce qui peut pour diverses raison se comprendre) la suite de cet article ne vous aidera pas davantage à comprendre !

En revanche, si quelque chose à été touché en vous, poursuivez la lecture de ce partage très personnel.

Être en contact avec des phénomènes invisibles et sensibles, cela vous apprend énormément de chose sur le monde qui vous entoure et…. sur vous même.

Effectivement, l’hypersensibilité permet d’entrevoir ce qui est habituellement fermé, que ce soit au dehors ou en dedans.

Mais nul besoin d’hypersensibilité pour capter avec des baguettes les phénomènes bien connus en géobiologie. Les cheminées cosmo telluriques sont une réalité. Une réalité invisible certes mais que l’on peut ressentir et capter aux baguettes. De manière plus ou moins agréable selon la nature de la cheminée. Le but n’est pas de les définir (d’autres l’on déjà fait) mais de vous faire partager ce que j’ai ressenti à leurs contact.

Ce sont des phénomènes subtils impressionnant par leur ampleur « physique » mais aussi et surtout par ce qu’il en émane.

Ce sont selon moi des êtres (car doté d’une conscience) capable de bouger qui m’ont touché par la grande sagesse qu’ils irradient. En terme de finesse de ressenti cela me rappelle une expérience passée.

Cela vous est il déjà arrivé d’aller voir un vieil arbre vénérable et de ressentir son énergie, sa force, au point de vous dire que vous avez face à vous un maître de la nature ? De saisir qu’il est bel et bien vivant, d’une manière différente de la notre, mais qu’une conscience l’habite.

Cela renvoie un peu d’une certaine façon à la culture celtes et aux coutumes des peuples racines de chérir la terre, la nature vivante, vibrante.

Le sentiment avec une cheminée est certes différent mais s’apparente en terme de subtilité de ressenti.

Sagesse des éléments, humilité de l’homme voila ce que leur contact m’évoque. Il n’est pas simple de retranscrire les sentiments générés par ces silencieuses rencontres, mais une chose paraît clair, nous sommes lié à plus grand que nous, au dedans de nous même comme au dehors.

Prenons soin de chaque chose en ce bas monde car chacun de nous y est à sa place.


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« Mieux vaut prévenir que guérir .»