« Mieux vaut prévenir que guérir .»

La seconde partie évoque la partie technique (et non scientifique) de la Géobiologie : il s’agit de quelque chose qui nous concerne tous : la mesure des ondes électromagnétique.

Les mesures (non sensibles) sont pratiquées au moyen d’appareils spécifiques utilisés par certains géobiologues.

Chacun d’entre nous y est soumis quotidiennement à divers degrés, de manière plus ou moins soutenue selon l’endroit où nous sommes et les appareils que l’on utilise. Depuis la révolution industrielle, nous sommes habitués aux avancées techniques, technologiques, qui nous ont facilité la vie mais qui ont également changé (ou biaisé) notre rapport au monde : le leitmotiv est souvent le même : extraction, production, vente, expansion.

Ces avancées bien que profitables, ont généré des dégâts inattendus, souvent incontrôlées sur l’environnement et l’homme.

La pollution tue mais silencieusement.

L’idée n’est pas d’enfoncer une porte ouverte sur les erreurs déjà commises par le passé mais d’ouvrir le débat sur une nouvelle non prise en compte des conséquences liées au déploiement de technologies dont on ne mesure pas la portée ni les conséquences sur la santé humaine.

Là encore la géobiologie peut nous y aider à y voir plus clair, à ouvrir un débat utile, sain, pour cette génération et celles qui suivront.

On ne s’en rend peut être plus compte mais notre mode de vie nous impose d’aller vite, encore plus vite, toujours plus vite.

Aller plus vite c’est utile certes, mais ne perds on pas un peu de son libre arbitre à vouloir courir frénétiquement ?

Plus les choses vont vite et moins on a de recul sur l’impact qu’elles engendrent. Plus les choses vont vite et moins l’emballement de la mécanique ne devient arrêtable, ni même réversible.

Quel recul avons nous sur de jeunes technologies comme la 5G, le wifi qu’on généralise, ou les antennes relais qui poussent aussi vite que du maïs dopé aux hormones ?

L’idée n’est pas de revenir en arrière, à l’époque des pigeons voyageurs, mais de plutôt se demander dans quelle proportion et à quelle vitesse voulons nous déployer plus de moyens techniques, alors même que nous ne connaissons pas la portée de leurs répercussions futures sur la santé humaine à longue échéance ?

Car nous savons que les champs électromagnétique bien qu’invisibles à nos yeux sont ressentis par notre corps, le millions d’électrosensible en France le sait déjà.

Les études ont révélé des modifications biologiques au niveau des cellules ! Les ondes ont aussi des répercussion sur le cerveaux !

L’electrohypersensibilité n’est pas une maladie imaginaire ! Les études sur les effets à court terme sont éloquentes, alors quid d’une exposition persistante et longue ?

N’est-il pas temps de se poser la question  : ne va t’on pas trop vite dans l’implantation d’antennes relais ?

Quelle est le niveau exposition de la population aux champs électro magnétique ?

Ne devrions nous pas abaisser les seuils d’exposition au nom du principe de précaution ?

Pourquoi voir le Géobiologue qui fait un état des lieux du niveau d’exposition aux ondes comme un hurluberlu plutôt que comme quelqu’un (d’un peu trop en avance sur son temps, certes) qui prends en compte ce qui ne se voit pas mais qui à une influence sur notre capital santé ?

Aura t’on compris trop tard que nous avons été trop vite et que ce n’est pas parce que cela ne se voit pas que cela n’est pas sans danger ?

On a commis l’erreur d’aller trop vite, avec l’amiante, le plastique (c’est fantastique !), reproduiront nous les même erreurs avec l’augmentation déraisonnée de la pollution électromagnétique ?

Ami journaliste, la mesure des ondes électromagnétiques n’est pas une science, c’est la prise en compte de ce que l’on sait déjà (par la multitude d’étude disponible menées sans conflits d’intérêts) sur l’influence des ondes sur le métabolisme humain), c’est encore une fois le bon sens et le principe de précaution qui devraient prévaloir.

La géobiologie, avec cette partie technique intervient là encore pour faire en sorte de ne pas être trop exposée à cette pollution invisible mais réelle, dont l’impact est sous estimé, sous évalué malgré les cas d’electro-hypersensibilité avérés ainsi que les études faisant cas des impacts défavorable pour l’homme.


Une troisième et dernière partie est à suivre sur ce blog.


Suivant
Suivant

Passage dans une radio locale ICI Gascogne